[coyote-chan]

Chapitre 5


Les jours passèrent et Natsuki repensait à sa sortie nocturne.
« Je me demande ou est-ce qu’elle est encore passée. Oh et puis ce n’est pas comme si j’avais envie de la revoir. »

Des pas se firent entendre, elle tendit l’oreille comme un loup, ses sens s’alarmèrent. Des pas souples mais silencieux, une démarche agile.
Le regard dur vers la porte, elle attendit patiemment. Le poing serré, elle était prête à se défendre... Lentement la porte s’ouvrit, d’un mouvement Natsuki sauta sur l’inconnu le deux bras vers l’avant mais une force phénoménale l’attrapa au vol pour la plaquer contre un mur.

« Shi, Shizuru ? » Bégaya Natsuki

« Ara, mais à quoi pensais tu pour m’attaquer ainsi ? » répondis la belle jeune femme.

Natsuki : « A rien !! » gênée, elle détourna le regard.

Se resserrant lentement, puis lui murmura à l’oreille : « tu ne m’attendais donc pas ? »
Répondant du tac au tac :
Natsuki : « Si ! Mais comme ça fais des jours que je t’attends, je me suis dis que tu reviendrais peux être pas » Choquée par ce qu’elle venait de dire, elle commença à rougir, essayant tant bien que mal à le cacher, elle se débâta. Mais il était trop tard, Shizuru acquiesça un sourire et pensa qu’elle était très mignonne à rougir ainsi.

Lorsqu’enfin, Shizuru, se décida à relâcher son assaillant.

Shizuru : Est-ce que mon petit louveteau veut bien aller prendre son bain ? Pointant le doigt vers la porte de la salle de main.

BAIN ??? « Pas question ! » s’exclama la rebelle en tournant le dos.

Shizuru : A moins que ma petite Natsuki préfère que je lui fasse prendre ?

QU, Quoi ? Baka !! Je, je peux le prendre moi-même.

Et à une vitesse faramineuse, elle courut vers la salle de bain claquant la porte ? Gromellant des mots incompréhensibles. Shizuru quand à elle se mit à rire de plus belle, cela faisait bien longtemps qu’elle n’avait pas rie ainsi.
Quelques minutes passèrent, lentement Natsuki entrouvrait la porte, personne à l’horizon et un kimono bleu égyptien était plié sur le lit. A la hâte, elle alla enfiler le vêtement et se glissa sous les draps du lit. Durant la nuit, elle ne faisait que penser à la propriétaire des lieux, sa voie et son visage ne cessait d’apparaître dans son esprit.
Agacée par cela, elle avait chaud et descendit du lit pour s’allonger sur le sol froid. Dehors il faisait nuit, le souffle du vent se faisait entendre à travers les murs. Mais doucement comme apaisée elle s’endormit.
Lorsque la femme aux rubis réapparut dans la pièce, elle fut bien surprise de voir la jeune femme aux cheveux de nuit allongée au sol.
Admirant la belle, ses longs cheveux bleu nuit lui retombé jusqu’au bas du dos, laissant quelques mèches retomber sur son visage. Un teint pale, au trais bien dessinés, de petites lèvres charnues, et un corps bien proportionné.

Sa beauté ne laissait pas indifférente notre petite vampire. S’approchant furtivement afin de ne pas réveiller notre héroïne, elle souleva avec beaucoup de délicatesse Natsuki pour la porter jusqu’au lit. Puis lentement, elle s’y glissa à son tour.
Son regard se posa sur Natsuki, un sentiment de tristesse la prit. Ce serait elle attachée à cette humaine en si peu de temps, ce n’était pas à son habitude mais cela lui resserra le cœur. Attrapant une mèche de la louve, pensive, elle remit instinctivement celle-ci derrière l’oreille de cette dernière. Son odeur, la douce odeur de Natsuki, effleurée les sens de Shizuru, attirée comme un aimant elle se rapprocha doucement, le regard sur la louve, elle se mordit la lèvre inférieure. Se rapprochant dangereusement de notre victime, sa bouche n’était plus qu’à quelques millimètres de la belle.
Stoppée net dans son élan, elle ferma les yeux, repensa à la réunion qu’elle avait eue quelques jours plus tôt.
Mais elle senti deux main se coller contre son visage, des lèvres douce et chaudes l’embrassaient tendrement. Rouvrant les yeux, elle vit que Natsuki avez supprimé la distance qui les séparées.

« Mmm … Shizuru », susurrait la louve endormie.
Dans un élan de douceur, celle lui rendis son étreinte pour s’endormir profondément.

[Natsukiii]

Ouaaaa Natsuki l'a embrassée?? heu mais quand elle a fait sa elle dormait c'est ça?

[coyote-chan]

lol oui elle dormait ^^' , mais ne t'inquiètes pas ça ne fait que commencer et puis d'autres personnages vont apparaîtres pour mon plus grand plaisir lemoooooooooooooooon !!!!
Et continues ta fic !

[coyote-chan]

Chapitre 6


Le lendemain matin, les rayons du soleil vinrent se déposer sur Natsuki.
« Mayo, Mayonnaise.. » Chuchotai telle, « Nao, rends moi la mayo ou je te mords.. »

Kawai, ne put s’empêcher Shizuru qui s’était déjà levée prête à partir. Mais le nom de Nao, l’a perturbée. Silencieusement, elle s’en alla laissant la dormeuse toujours endormi.

Clac,

Ce bruit l’a réveilla, « qu’est-ce ? »
Encore somnolente, elle regarda vers la fenêtre, le jour s’était levé...C’est aujourd’hui qu’elle avait prévu sa fuite. D’un pas décidé, elle se mit sur ses jambes, se dirigea vers la salle de bain, elle brisa le miroir qui était accroché au mur et en ramassa un morceau. Retournant dans la pièce principale, elle tira le drap du lit l’arracha de ses dents puis enveloppa le bout autour de son arme en le banda de manière qu’il soit accroché a sa main droite.
Soufflant pour se calmer, elle se dirigea lentement vers la sortie, clic, très facilement elle avait crochetée la serrure à l’aide d’un simple crochet. Inspectant le couloir, personne …
Il fallait se dépêcher car le prochain soldat mit de garde allait arriver.
Se remémorant le plan, un angle mort à l’opposé du château n’était pas surveillé et indiquait qu’il était en direction de l’Est. Prendre à droite, à cent mètre un escalier, le descendre pour se retrouver face à une pièce ou y étaient entreposés des armes et certaines vieilles reliques de valeur inestimables.
Observant une nouvelle fois les lieux, longeant les murs elle se dirigea vers la destination.
Un soldat arriva, il marchait rapidement, s’avançant prudemment, elle attrapa la nuque de ce dernier et lui trancha la gorge sans la moindre hésitation. Une fois le travaille terminé, elle le tira jusqu’à une porte et l’y cacha. Surveillant le moindre bruit, elle continua son chemin

Non loin de là, Tomoe accompagnée de son One Sama discutaient.

Tomoé : « One sama, qui est la jeune femme de votre chambre ? Cela me gène qu’elle dorme à vos cotés. Cette femme ne m’inspire pas confiance, elle à déjà essayée de fuir en volant une clée. »
Tiquant, par ces propos, Shizuru, se demanda comment Tomoe pouvait être au courant de cette fuite alors que l’affaire devait rester discrète en attendant que ce sois résolu.
Elle lança un regard séduisant vers la présumée coupable.

Shizuru : « Ara, Ma petite Tomoe est bien trop méfiante, ce n’est qu’une humaine. Je dois m’occuper d’elle un certain temps mais une fois terminé je m’occuperais personnellement de son cas. Voudrais-tu m’aider pour mieux m’en débarrasser ?»
S’avança avec un regard lascifs, elle enlaça la taille de la fille au cheveu vert, se rapprochant sensuellement elle lui murmura : Si je faisais de toi ma compagne, me jurerais-tu fidélité ?
Toute rougissante, la jeune Tomoe senti ses joues prendre feu :

« Oh oui, One sama, tous ce que vous voudrez »

« Répondrais- tu à toutes mes questions fit telle en léchant lentement la nuque de Tomoé ? »
« Ou, OUI » gémit la jeune femme

Frôlant dangereusement le bas du ventre de Tomoe : l’a questionna
Ne serais tu pas celle qui a délibérément relâché des voraces touts en libérant nos prisonnières ? Tout en descendant un peu plus bas ses caresses…

« Oui, » échappa la jeune femme. Prenant consciente de ce qu’elle avait avouée, elle voulut se défendre mais du bout des doigts la charmeuse l’en empêcha.

Shizuru : « Je te remercie, Tomoe Marguerite. »
Tomoe commença à trembler « Je, je ne voulais pas vous causez de soucis ! »
« Je sais ...Ne t’inquiète pas » Répondis tendrement celle-ci en resserrant son étreinte.
Puis pour plus d’élan, elle bascula sa tête vers l’arrière, ses yeux rubis prirent une teinte jaune, entouré d’un rouge macabre, son sourire sadique laissait paraître des canines lacérés. D’un geste précis elle planta ses crocs dans le cou de sa victime tout en resserrant une nouvelle fois l’embrassade qui était devenu maintenant insupportable pour notre victime. Les os craquèrent sous la force du carnassier, des bruits sourds de douleur sortaient de la bouche de la traitresse, et elle cracha du sang sous le choc.
Quand à notre tueuse, elle prit un malin plaisir à planter ses ongles dans la chair de sa victime relevant quelques secondes la tête elle replanta ses canines dans la morsure. Un filet de sang coula lentement le long du corps du cadavre.


Le long d’un couloir, Natsuki, s’était rapprochée d’une porte ou elle avait entendu des voies. A sa grande stupeur, elle avait assistée à toute la scène. La Shizuru, au visage doux qu’elle connaissait avait tuée Tomoé, qui anciennement était une amie d’un village voisin. Ses jolies yeux rubis, avait pris une tout autre couleur et la douceur que dégageait autrefois la jeune femme ressemblait plus à un animal enragé. Choquée, elle recula… « Comment est-ce que j’ai pu croire qu’elle était différente des autres » pensa telle. Rassemblant ses esprits, elle prit la direction de la pièce ou elle devait se rendre.
Arrivée à destination, elle vit des armes entreposés ainsi que des vieilleries de grandes valeur. Elle s’empara d’un poignard en acier et d’une corde de plusieurs mètres. Son armement en main, elle se faufila par une fenêtre, commençant à longer les murailles, le vide la fit transpirer. En moins de deux minutes, elle se retrouva de l’autre coté du château. Cherchant un appui, elle commença à attacher la corde autour de sa taille puis l’attacha à un créneau, d’un geste souple et rapide elle descendit en rappel. Se sentant enfin libérée, ses pieds touchèrent le sol, se libérant du cordage rapidement elle se mit à courir aussi vite qu’elle put.
Mais au u bout de cinq minutes, le son d’un cor se fit entendre. Haruka chef des soldats, se dirigea d’un pas rapide vers la chambre de la captive et l’ouvra violemment. Personne ! Natsuki Kuga s’est enfuis et il fallait absolument la rattraper. Le poing serré elle hurla :

« RETROUVEZ-MOI CETTE PETITE DELINQUANTE !!!!!!!!! »

Sur ces mots, tous se mirent à la poursuite de leur proie.

Alors que Shizuru exultait devant le corps inerte de sa victime au sol, Reito, lui, était entouré de jolies femmes dans sa chambre. Torse nuit, ces jolies demoiselles l’enlacées, pleines de plaisirs à son égard.
Mais l’alerte, les tira de leur jeu.

En moins de deux, Haruka, Reito et Shizuru s’élancèrent en direction de la forêt.
Tous se séparent pou retrouver rapidement la fugitif.

Non loin de là, Natsuki toujours en fuite, continuait à courir à travers les arbres. La forêt était dense, et les buissons écorchés notre fuyarde. Les bras égratignés de toute part, essoufflée elle s’arrêta pour reprendre sa respiration.

Elle nu pas le temps de comprendre ce qui se passait qu’une main encercla son coup et le resserra agressivement. Face à elle se tenait un jeune aux cheveux court, au teint brun.

[Natsukiii]

De l'action oua Shizuru ..... bon elle a tuer tomoe franchement qu'importe

[coyote-chan]

ouiii meurs crève je l'aime vraiment pas cette tomoé enfin bref, je poste la suite après une breve correction désolée pour les fautes mais je viens juste de finir le taf je suis un pe vannée gomen


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Chapitre 7


Natsuki : « Ta, Takeda.. » articula t-elle en suffoquant.

Takeda Masashi, prétendant et fou amoureux de Natsuki. Ce bel homme avait toujours protégée cette dernière quoi qu’il arrive. Mais après s’être fais attaquer, il était devenu un de ces voraces sans plus aucun sentiments. La lueur dans ses yeux fit comprendre à la fille qu’il n’était plus humain, mais des larmes coulaient lentement de son visage. Etant à son dernier stade terminal de mutation, il pouvait encore supporter la lueur du jour, toujours conscient de ce qu’il faisait même si son corps ne lui répondait plus.
Soudain ! un poing heurta la tempe de l’attaquant, relâchant sa proie, il se fit projeter quelques mètres plus loin.

Shizuru : « Natsuki ! Tu vas bien ? »

Natsuki : « Ne t’approche pas !!, étant à terre, la louve recula complètement effrayée.

« Je, Je t’ai vu la tuer ! Pourquoi ?! Pourquoi est-ce que tu as fais ça ! Je te croyais différente ! Je te haies ! Oui je te haies ! Toi et tes semblables ».

Ces paroles étaient comme une gifle pour la jeune femme aux cheveux châtains.
Ne sachant quoi répondre, elle détourna son regard pour se figer sur celui du jeune homme. S’avançant, le visage froid elle attrapa le col de celui-ci, prêt à lui arracher la tête.

« NOOOOOON !!! » Supplia Natsuki, les larmes aux yeux.
« Relâche le je t’en pris, je n’essayerai plus de fuir… Quelques goutes d’eau, tombèrent au sol
« Je ferais tous ce que tu me demandes mais s’il te plaît ne le tues pas. »

Les pleurent de Natsuki, fit resserrer les dents de notre tueuse, un profond sentiment de solitude lui fit mal à la poitrine.
Complètement déboussolée elle ne savait que faire. Profitant de l’absence de Shizuru, Takeda attrapa la gorge de la jeune femme pour la mordre, voracement il jeta ses crocs sur la nuque de la jeune femme.
Reito, apparaissant de nulle part attrapa la bête et décapita ce dernier de ses deux mains.

Tétanisée, Natsuki regarda la jeune femme de Kyoto gisant au sol.
« Shizuru.. », sans même réfléchir, elle se releva pour accourir auprès d’elle, mais un coup l’assomma.

Haruka qui était arrivée à son tour un peu plus tôt

« Qu’est-ce qui se passe ici et pourquoi Shizuru est-elle blessée ? »
Reito : « Il semblerait que notre princesse se soit prit d’affection pour cette humaine »

« Quoi ?! » s’écria Haruka.

« Du calme, gardons cela pour nous, Haruka-san. Ont en reparlera à son réveille. »

La blonde attrapa Natsuki et la porta sur ses épaules.
Reito, pris à son tour Shizuru dans ses bras et tout deux retournèrent au château.

La nuit tombée, notre petite louve ouvra les yeux, à sa grande surprise, elle se trouvait dans une chambre complètement différente de celle ou elle avait pût être jusqu’à présent. Il faisait froid et noir. Cette ambiance lui donnée la chaire de poule. Puis des images de sa fuite lui revint à l’esprit, Takeda, Shizuru… La jeune femme s’était blessé en voulant la sauver mais la colère avait pris le dessus, elle était une de ces créatures qui avait tuées ses amis et détruis son village.

Plus haut dans le fort, Shizuru regardait la lune brillait au loin. Sa morsure n’étant plus qu’un mauvais souvenir, son organisme s’était rapidement régénéré.

« Reito-san , que me vaut ce plaisir ? »

Reito : « Je m’inquiétais pour vous, ce n’est pas dans vos habitudes de vous laisser surprendre ainsi. »

Haruka qui arriva à ce moment là prit la parole :

« Eh Bobuzuké, maintenant qu’ont est seul, tu peux nous dire ce qui t’as pris ? »

« Ara, ne vous faites pas de soucis pour moi, tous vas bien, j’ai juste était distraite.

« Par cette jeune femme… te serais tu par impudence amourachée d’elle ? Cela m’étonne de toi ! Tutoiement finalement son amie de toujours. »

Restant maître de la situation shizuru continua à regarder le ciel.

Haruka : « Quoi ? Fujino Shizuru ? Cette buveuse de thé ?
Se tournant vers sa rival, empoigna Shizuru.

Haruka : « MAIS T’ES DINGUE OU QUOI !!!!!!!!!! » hurla telle.

Reito alarmé, essaya tant bien que mal à calmer l’histérique :

« Calme toi Haruka-san et arrête de hurler comme ça ont va nous entendre ! »
Grognant, la blonde fusillait du regard la jeune Fujino qui resta de marbre.
Une foi calmé, Haruka continuait à regarder Shizuru d’un air méchant.

Exaspéré par la situation le bel homme demanda à Shizuru :

« Es- tu amoureuse d’elle ?»

Shizuru :
« Ara, vous vous méprenez, je ne fais qu’obéir aux ordres, et attirait la sympathie de Natsuki. Je souhaite cependant, qu’elle retourne vivre dans ma chambre afin qu’elle ne se méfie de rien. »

Reito n’était pas dupe et savait pertinemment qu’elle mentait à la perfection, fit semblant d’y croire. Il connaissait très bien son amie de longue date, ayant toujours été fidèle à cette dernière et ce, jusqu’à se faire volontairement vampirisé. Haruka quant à elle, était autrefois une personne de justice, franche elle disait toujours ce qu’elle pensait même si pour cela, il fallait en venir aux mains.

Une nuit, Reito l’avait retrouvé presque morte près d’une colline, blessée par des bandits. Lui restant peu de chance de survivre, Reito gentleman l’avait recueillit et lui fit rencontrer le seigneur Kokuyou avec qui elle passa un pacte pour enfin faire parti des leurs pour se venger de la morts de sa famille.

« Comme vous le souhaiterais très chère. » Répondis le bras droit du roi. Sur ces mots, la jeune femme de Kyoto s’en alla.

Reito et Haruka qui étaient resté à discuter, se demandèrent si laisser leur amie en faire à sa tête était bien prudent. Après dix minutes de conversation, ils se mirent d’accord et se séparèrent.
Une heure s’écoula et ont emmena de force la captive pour la conduire ensuite dans son ancienne chambre. Une fois dans la pièce, elle vit l’ombre de son hôte assise au rebord de la fenêtre.
Silencieuse, elle ne disait mots…Shizuru, le regard pensif, regardait la lune.

Natsuki : Tu m’as menties, Je pensais que le soleil, vous tuez !! Takeda ! Vous l’avez tuez !! Vous n’êtes que des animaux ! Pire des chiens enragés !!
La présumée menteuse répliqua :
« Ara, je n’ai jamais dis que je craignais la lumière du jour, c’est toi-même qui en a fais des conclusions. Il n’y que les impures qui la craignent. »

Maudissant la jeune femme, Natsuki s’avança pour lui décocher un coup de poings mais elle fit stopper par la jeune femme. Attrapant son bras, elle le resserra, ce qui fit hurler de douleur son agresseur. « Aaah !! » Gémis la rebelle, « elle va me briser le poigner « pensa telle.
Shizuru : « Tu croix que j’ai décidée de devenir ainsi ?!! Je me de nourris de sang, et oui cela me procure beaucoup de satisfaction !! Je n’y peux rien si le sang me fais perdre la raison mais toi qu’est-ce que tu peux y comprendre tu ne fais que juger sans comprendre. Et pour te répondre, si nous avons des sentiments, c’est la seule chose qui nous reste de l’état d’humain.
Mais jamais ! Jamais ! je n’aurais cru m’attacher à toi ! J’aurais préférer mourir tellement cela me fais souffrir. »

Sur ses paroles, elle repoussa brutalement Natsuki de la main ce qui fit cogner la tête de la louve contre le bord du lit. Une couleur rouge commença à s’étendre au sol.
Comprenant qu’elle n’avait pas mesurée sa force, Shizuru s’agenouilla près d’elle, demandant son pardon, mais l’odeur du sang, réveilla son instinct de tueuse. Elle avait du mal à se contenir, essayant avec difficulté de contrôler son envie de planter ses croc dans la chair de la blessée, elle décida de s’éloigner mais la main de Natsuki l’en empêcha.

Natsuki : « Ne pars pas.. »

Mais sentant sa nature reprendre le dessus, le carnassier se dégagea de son amie, et sorti de la pièce, laissant notre blessée seule.

Arrivée, au sommet des remparts du château, Shizuru les mains contre sa tête hurlait de douleur, calmer sa soif de sang lui était insupportable. « Natsuki » pensa telle, la voie de la louve résonnait en elle. Un garde qui passa par là, ne se méfia pas, continuant sa marche sans avoir prêté attention à cette dernière, se fit mordre à pleine dent. Aspirant tout le sang jusqu’à la dernière goute, elle lui arracha un morceau de chair et le jeter par des dessus les remparts. Après quelques minutes, elle réussit à s’apaiser et Haruka se montra :

« Eh Fujino, tu t’es enfin calmée…

Silence

Haruka n’avait jamais vu son amie dans cette état, et malgré quelle se sente sans cesse en compétition avec cette dernière, cela lui faisait un pincement au cœur.

Shizuru toujours aussi silencieuse, commença peu peu à trembler, tombant à genoux elle mit ses mains contre son visage et commença à sangloter :

« A chaque fois que je suis près d’elle, je sens mon cœur se resserrer. Ma poitrine me fait mal comme s’il allait m’arracher le cœur. Son odeur me trouble, sa voie résonne dans ma tête, à chaque instant j’ai envie de l’a sentir et de l’a toucher ». Sans qu’elle ne puisse se controler, les larmes tombèrent à flots. Depuis sa mort, jamais elle n’avait pleurée en présence d’autrui. Mais là, c’était devenu incontrôlable.

Haruka qui ne savait comment réagir à la situation, resta statique.

Reito : « Je pense que tu t’es tout bêtement amourachée d’elle »

Reito, qui jusqu’à présent était caché se montra.
« Et si tu es tombée amoureuse d’elle tu ne pourras y échapper. Mais d’après ce que j’ai pu constater, ta petite protégée et elle aussi tombée sous ton charme ma chère Shizuru. » Comme un gentleman, il baisa la main de notre héritière puis se mit à genoux. Cela fais des siècles que j’attends qu’une personne te rende ce sourire alors quelque sois le choix que tu feras, je te suivrais.

Haruka qui s’était enfin réveillait :
« MOI AUSSI !! Depuis 500 ans que j’obéis à ce crétin de Kokuyou, je vais pouvoir lui faire sa fête ». Ricana telle. « Ma dette est depuis longtemps payée. »

Shizuru ayant repris ses esprits :

« Non ! Attendez, je ne veux pas que vous vous mêlez de ça ! En vous rebellant, une guerre risque d’éclater ! Et Natsuki, je ne sais pas si…»

Haruka : « Eh Fujino, t’as peur ou quoi, je suis prête à leur mettre la pâtée a ces idiots ! »
Un grand sourire jusqu’aux oreilles, l’athlète frappait ses poings pour montrer sa détermination.

« Tu es incorrigible Haruka-chan » ria Reito, soit, « fais nous part de ta décision lorsque tu seras prête dit-il en se tournant vers Shizuru, mais n’oublis pas que la date prescrite arrive à grands pas et dans trois jours, il sera trop tard pour faire marche arrière. »

Sur ces bonnes paroles Haruka et lui partirent.

« Natsuki …» murmura Shizuru

Un peu plus bas, dans la chambre ou se logeait la jeune Kuga, une domestique soignait la blessée. Une fois son travail fait, elle s’en alla.

Trois jours passèrent, le jour J arrivait et Shizuru n’avait fait part de sa décision, ni même revu sa louve.
Convoquée par leur seigneur Shizuru et ses amies se rendirent devant une assemblée. Des nobles de sang pur, et de tous les pays vinrent se présenter au roi. Tous étaient curieux de voir leur prochaine reine, celle qui mettra naissance à une nouvelle race plus puissante.

Non loin de là, dans la foret, des mumurent :

« Préparez vous à attaquer ! »

[WinryElric]

[Natsukiii]

Oui un bon score et sur fanfiction oui tu devrais mais bon même moi avec ma fic j'ai peu de commentaire, -j'ai du mendier pour en avoirs, qu'elle tristesse-

[coyote-chan]

je pense que vous avez raison et le ferai dès que j'ai un moment merci pour les coms place à la suite


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Chapitre 8


Dans la demeure des carnassiers, le seigneur Kokuyou frappa des mains et prit la parole:
« Mes chères amies, dans quelques heures lorsque le soleil sera au plus haut, et qu’il s’assombrira, nos forces décupleront, ma future épouse engendra un enfant encore plus puissant que ses ancêtres ne l’ont étaient et ainsi, assurera la descendance de notre race !! »

Tous les invités acclamèrent leur roi.

Plus haut au château, Natsuki était fermée dans une immense chambre, un grand lit y était placé au centre de la pièce où une belle robe en soie, couleur azur, y était déposée. Fixant le vêtement, elle l’attrapa, de ses mains elle en déchira le tissu puis le jeta à terre.

Soudain, un homme pénétra dans la chambre nuptiale… .

Natsuki : « Qu.. »

Elle n’ut le temps de réagir que son agresseur l’avait fais taire…

Dix minutes s’écoulèrent et l’homme en ressortit.

Pendant que les carnassiers fêtaient l’évènement, l’Obsidiant demanda à un de ses gardes si tous étaient prêts.
« Oui sire, elle n’attend que vous. »
Un sourire démoniaque se dessina sur le futur marié, puis il s’avança vers son assemblée.

Obsidiant : Mes frères, je dois maintenant vous laisser. Profitez de mon absence pour vous divertir, Haruka, capitaine de ma garde royale, va vous mener dans une cour là ou vous trouverez de quoi vous rassasier ! Sur ce, je vous laisse entre de bonnes mains.

Le capitaine en question, précédant la marche, montra le chemin à ses invités et regarda du coin de l’œil Reito qui s’avança d’un pas léger vers Shizuru. Elle était restée silencieuse au discourt de son père et n’avait montrée aucune expression sur son visage.

Reito : « Vous ne comptez quant même pas laisser cette pauvre fille sans défenses avec notre seigneur? » Ne voyant aucune réaction de celle-ci, il reprit : « Il sera peut-être doux après tout ? Aussi doux que lorsqu’il à tué cette pauvre femme le jour de votre 23e anniversaires… »

Ce souvenir, ébranla l’héritière, à cette époque, ce monstre, après avoir tué toute une famille, et avait ramené au château une jeune femme. Il s’était amusé à la mordre sur toutes les partes intimes de celle-ci tout en lui lacérant le corps de ses griffes, non satisfait de ce qu’il lui infligé , il l’à viola et l’a démembra pour ensuite jeter les restes aux voraces. Des images de tortures lui vinrent à l’esprit, ses poings se resserras, et ses yeux prirent une tintes jaunes cerclé d’un rouge sanglant. Sans même prendre la peine de répondre à son ami, elle s’élança en direction des chambres dites. Le cœur battant, elle espérait arriver à temps.
Courant à toute allure, ses pas étaient rapides ! Arrivé sur les lieux, deux gardes surveillaient la pièce. D’un geste rapide elle tua ces adversaires en leur arrachant la tête, et sans même se retourner elle pénétra dans la chambre. A sa grande stupeur, la robe que devait porter sa protégé était au sol à moitié déchirée… Elle devint blême, prise de panique, elle regarda dans tous les sens.

Une main vint se déposer sur son épaule.

Shizuru : Natsuki !!

La jeune Kuga portait un pantalon noir, des bottes couleur brun qui lui arrivait jusqu’aux genoux et une chemise blanche bien trop large pour elle. Soulagée, Fujino prit dans ses bras sa louve. Surprise de la réaction de la jeune femme, Natsuki ne se débâta de l’étreinte.
Au bout de quelques secondes, des pas firent sursauter nos deux jeunes femmes, comprenant ce qui se passait, Shizuru se mit dos à la brune pour la protéger. Violemment la porte s’ouvrit, un garde suivis de son souverain, apparu et de colère, celui s’avança vers nos deux jeunes femmes.
« Que signifie tous ceci, SHIZURU !! » grogna le carnassier, furieux que sa futur mariée soit accompagnée de sa fille.
Shizuru : « Je ne vous l’a laisserait pas »
Obsidiant : « Tu oses me tenir tête ! Chienne ! Saches que ce que je veux, je l’obtiens toujours et ceux à n’importe quel prix ! GARDE ! SAISSISSEZ LES !! » En moins de deux, plusieurs soldats et voraces se tenaient face à nos deux héroïnes. Mais un bruit sourd se fit entendre, le son du cor, des intrus ont pénétraient l’enceinte du château. Profitant, de la situation, Shizuru attaqua la première, les voraces se jetèrent sur elle mais avec un sang froid elle attrapa au vol la gueule d’un vorace pour la lui arracher ! D’un coup de pieds elle envoya à terre un autre et le décapita. Natsuki, quant à elle décocha un violemment coup de poings à un des soldats, d’un coup de pieds bien placé, elle le mit à terre. Ramassa l’arme de son agresseur, elle fit tournoyer son épée. Avec un regard meurtrier, elle brandit la lame et trancha la tête à un autre soldat. Shizuru surprise que sa petite louve sache se servir d’une arme et se battre aussi aisément, ne put s’empêcher de penser qu’elle avait fière allure.
L’Obsidiant quand à lui regardait la scène avec amusement. Lorsque le dernier vorace se fit tuer d’une lame en plein cœur, il se mit à rire du spectacle.

Kokuyou : « Je vois que je ne m’étais pas trompé sur ton compte Kuga Natsuki ! Dernière survivante, du clan de Kiji. Je savais bien que tu ne montrerais pas ton vrai visage mais dans quelques minutes je vais bien voir à quoi ressemble ma rivale ! » Le sourire diabolique, il regarda Shizuru : « Regarde le spectacle qui s’offre à toi… »

Plus bas au château, le sang giclé au sol, des crocs arraché la tête aux voraces tandis que les carnassiers se battaient contre leur ennemis, d’autres fuyaient ! Des hululements s’étendaient dans toute la demeure.
Dehors, le soleil qui brillait se recouvra lentement d’un corps noir.

AAAAAHHhhhhhhh !!!!!!!!!!!!!
Hurla Natsuki en se tenant la tête.

« Natsuki » s’écria Shizuru
La belle, de douleur, tomba à genoux, tremblante, elle suffoquait. Ne comprenant la réaction de son amie, elle ne put qu’assister au changement brutal de Natsuki. Ses yeux émeraude s’éclaircirent pour laisser place à une couleur vert clair cerclé d’un jaune doré. Se mettant à quatre pattes, son corps prit une musculature imposante. Ses os craquèrent, et sa mâchoire s’allongea…

Kokuyou : J’ai attendu…
Sa phrase se fit stopper par un énorme loup noir ébène, qui lui arracha le bras avec férocitée. La victime cracha un hurlement de souffrance. Maintenant à terre il recula, « Impossible ! » se mis à geindre le roi.

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Je viens de me relire et je suis sincèrement désolée pour mes fautes et répétitions en espérant que ça vous a plus même si ce n'est pas la partie que je préfère. Le prochain quand à lui est celui ou il y aura du lemon mais je suis pas vraiment douée pour ça enfin bref vous verrez bien et merci pour ceux qui continuent à suivre ma fic.

[coyote-chan]

je vais pas pouvoir poster le prochain chapitre maintenan car il faut que je le retravaille avant ! Ce dimanche surement. Désolé pour ceux et celle qui attendent la suite.

[Natsukiii]

Ce n'est pas grave prend ton temps

[WinryElric]

Raaah c'était trop court @_@ j'ai hâte de lire la suite

[Natsukiii]

Tu ne vas pas aimez la mienne (mon nouvo chap) qui est plus court

[WinryElric]

Je le garde pour lundi j'ai besoin de lecture au boulot XD

[Natsukiii]

okey C'est bien d'avoir quelque chose pour se divértir au boulot mais discrètement bien sûr